Patatras! La planète entière connaît l’identité secrète de Spiderman, qui n’est du coup plus du tout secrète: le pauvre Peter Parker n’en peut plus et décide d’aller demander un coup de main au Docteur Strange pour effacer la mémoire de l’humanité afin de pouvoir retomber dans l’anonymat. Mais les arrangements du Docteur Strange avec la réalité vont méchamment modifier cette dernière et ouvrir la porte à d’autres univers. Cette astuce de scénariste, c’est la porte ouverte à toute les fenêtres, comme on dit, mais aussi la garantie de pouvoir continuer à ramener du sang frais et des nouvelles idées parce qu’au bout du 27ème film Marvel et du 6ème opus de l’homme-araignée, on aurait pu craindre que ça tourne un peu en rond. Que nenni! Diablement bien écrit, fichtrement spectaculaire, parfois drôle, étonnamment riche en enjeux dramatiques, ce nouveau volet tient toutes ses promesses d’hyper-divertissement. Les multiples crossovers sont souvent très malins. Les nombreuses références, elles, font mouche et réuniront les générations. Bref, la franchise ne lasse pas et continue de se bonifier avec le temps.
Sortie cinéma: "Spiderman: No way home"
Notre chroniqueur Thomas Lécuyer explique pourquoi il ne se lasse pas de Spiderman...