Elle affiche 218 ch, ce qui la place en haut des Classe A de Mercedes-Benz si l’on met de côté la très sportive AMG et ses 381 ch. La transmission intégrale lui convient à merveille et possède deux atouts: elle confère une motricité excellente sur tous les revêtements et elle favorise la tenue de route. Même à allure soutenue.
Fixer les paramètres à sa main
Le système COMAND se… commande au moyen d’un gros bouton rond. Il permet de choisir un réglage individuel. Par exemple, nous avons mélangé les paramètres Sport et Comfort pour avoir une direction incisive, un moteur réactif, tout en ménageant nos lombaires. Résultat: sur des trajets longs, la A 250 révèle des qualités de grande routière dans une enveloppe compacte. Les passagers de la banquette n’ont pas trop de place, c’est le lot de toutes les autos de ce gabarit.
Le paramétrage général est excellent. Les idées de Mercedes sont également avant-gardistes. Le parcage automatique? Aucune touche à presser, il suffit de mettre son clignotant du côté où l’on cherche à se garer, et dès qu’un espace suffisant est détecté la voiture le signale. Et se charge de tourner le volant comme il faut.
Sur le plan de la silhouette, notre Classe A de test était dotée d’un imposant spoiler arrière assez discutable sur le plan esthétique. Cela fait un tabac au Japon… Autre remarque: le levier de vitesse est à droite du volant, toutes les autres commandes sont à gauche, clignoteurs, essuie-glaces avant et arrière, changements des feux. Une habitude à prendre.
Dans sa catégorie, très disputée, cette Classe A joue la carte d’un certain luxe, avec un tempérament dynamique.