Selon les milieux d’extrême-gauche, un immense centre de rétention sécuritaire, mélange de Guantanamo et d’Abu Ghraïb est actuellement en cours de construction en gare de Lausanne.
Dans ce centre, probablement dédoublé d’un bureau clandestin de la CIA, on y parquera en catimini les étrangers en situation irrégulière, pour des détentions provisoires d’une durée minimale de 36 à 48 mois. Il semble même d’ailleurs que, formée aux méthodes de Pinochet et du général Bigeard, la police lausannoise pourra les y torturer impunément avec une barbarie proportionnelle au niveau de pigmentation de leur peau.
En outre, selon des informations dûment confirmées par Francis Lalanne, Boris Johnson aurait passé un accord secret avec le Conseil d’Etat sortant - celui-là même qui a osé faire évacuer les zadistes du Mormont-, pour que les illégaux de Grande-Bretagne en partance vers le Rwanda puissent y être temporairement hébergés, et ce afin qu’ils puissent y goûter, ultime concession avant leur départ sans retour, les délices du chocolat suisse.
Et il y a des signaux encore plus inquiétants: dénichés par votre serviteur dans les méandres des plans de la future gare, et manifestement volontairement cachés aux lanceurs d’alerte du collectif Droit de rester, deux acronymes anodins dévoilent d’autres obscurs desseins: BAS et CDR. BAS pour Bureau d’Alain Soral, et CDR pour Centre de Covid Didier Raoult.