S'étonne à chaque fois de la place accordée, même dans des journaux dits « sérieux », aux faits, gestes et déclarations de cette drôle de chose médiatique appelée Nabilla. Dernier exemple en date : une confession de la chose précitée où elle se plaint de ne jamais avoir été soutenue par son père. Et de préciser: «A ses yeux, je manque de culture, j'ai trop de peau dehors, je ne suis pas assez couverte.»Elle lui reproche d'être clairvoyant ?
Trouve le personnage assez sympathique malgré une certaine arrogance. Jacques Neirynck, il s'agit de lui, conseiller national PDC atypique, 82 ans, n'a semble-t-il pas l'intention de renoncer à son mandat. Ce qui fait rager quelques jeunes loups…Il est vrai qu'être vieux n'est pas encore une maladie et que, de surcroît, à voir le niveau de plusieurs de ses collègues, on se dit qu'il vaut mieux être doyen que moyen. Et l'intéressé de déclarer, ironique: «Dans les îles du Pacifique, on faisait grimper les vieux au cocotier et on secouait». (photo1)En l'occurrence, ses «jeunes» ambitieux camarades de parti peuvent toujours secouer Neirynck, à 82 ans, ils ne sont pas près d'en sortir quelque chose.
Souhaite un bon anniversaire au Prince Charles qui a fêté ses 65 ans la semaine passée. Un bel âge et surtout l'âge de la retraite pour les plus grandes oreilles du royaume.Et comme le disait un camarade de comptoir de votre serviteur (on se ressemble comme deux gouttes de chasselas): « Voilà une retraite qui s'annonce difficile financièrement: c'est sa première femme qu'a touché le deuxième pilier!» (photo 2)