Songe à «Top model», feuilleton qui ne finit jamais, en découvrant les nouvelles polémiques mettant en cause le candidat au Conseil d'Etat valaisan Christian Varone. Tout d'abord - et malgré ses dénégations - on a pu apprendre que ses avocats ont bel et bien tenté de repousser de plusieurs mois son jugement en Turquie. Mauvais point. Ensuite, il aurait profité de sa position pour dissimuler un accident de voiture. Vrai ou faux, on ne sait pas.Ce dont on est sûr en revanche, c'est que dans sa collection, le candidat Varone aura bientôt autant de casseroles que de cailloux!
Découvre qu'un autre flic politicien, en l'occurrence Yvan Perrin, qui lui est candidat au Conseil d'Etat neuchâtelois, est aussi dans le pétrin. Cinq des employés de sa société de sécurité NSA sont en effet impliqués dans le scandale sexuel du centre de requérants de Perreux (NE) et, de plus, de récentes révélations sur son état de santé le gênent aux entournures. Des révélations auxquelles il a répondu, affirmant «qu'il n'est ni malade, ni alcoolique».Cet homme n'a décidément rien qui pourrait le rendre sympathique.
Apprend qu'une camarade de parti du «ni malade, ni alcoolique» cité plus haut, l'UDC valaisanne Nadine Reichen (sic), est partie en campagne pour supprimer les listes de chiens interdits ou dangereux, des listes instaurées en 2006.Et cette blonde déclare dans la presse romande: «Stigmatiser des races ne sert à rien».L'UDC valaisanne veut parler des chiens?