S'imposant comme la méthode de prédilection inéluctable sur tout type de support et média, la publicité semble être l'unique forme de monétisation d'une application gratuite. Toutefois, selon une étude réalisée par «Flurry'» au 4ème trimestre 2010, elle ne génère que 20% des revenus mobiles contre 80% pour l'In-App Purchase.
Un contenu additionnel
En effet, cette tactique vise à intégrer un contenu additionnel payant à l'intérieur d'une application dite gratuite. Pour ce faire, le concepteur utilisera divers procédés dans le but de créer une frustration chez l'utilisateur. Cela ira donc, de la vente de Packs évolués par rapport à l'achat de base ou version d'essai appelé «Basics», «Trial», «Lit», à la vente d'articles divers, de monnaie virtuelle, de personnalisation ou même de nouvelles fonctionnalités voire encore programmes similaires. Grâce à cette stratégie, l'application dite gratuite devient alors plus rentable qu'une application payante, étant donné que les achats intégrés ont la particularité d'être multiples et réitérables.
Stock épuisé
C'est le cas lorsque l'on achète des pierres pour le lance-pierre de notre personnage dans un jeu lambda en espèce, et qu'une fois notre stock épuisé, on se voit offrir la possibilité de renouveler notre achat. Le prix du jeu ''gratuit'' augmente alors considérablement en comparaison de son coût, s'il avait été payant.C'est donc légitimement que l'on peut se demander si, à nombre d'utilisateurs égaux, une application payante génère réellement plus de revenus qu'une application gratuite monétisée par l'In-App Purchase, sachant que les programmes gratuits sont plus plébiscités que les applications payantes.