L’initiative «Enfants sans tabac» comble les lacunes d’un contre-projet timoré. Les mots «superflu» et «extrême» utilisés par des opposants sont mal choisis. Ce qui est superflu, c’est de promouvoir des produits dont la consommation rend dépendant. Ce qui est extrême, c’est de parler d’entrave à la liberté économique, à la liberté individuelle des adultes, alors que ce sont les jeunes qui sont touchés! La liberté individuelle de chaque adolescent de vivre une vie en bonne santé est à protéger. Parler d’interdiction totale de la publicité pour ce texte est abusif. Elle y reste autorisée dans tous les espaces dédiés aux adultes.
Est-elle libre, cette jeunesse d’échapper à des sollicitations publicitaires pour les produits du tabac? Non!